
La Fondation Jean Jaurès recevait aujourd'hui le President Hollande pour un discours sur la démocratie face au terrorisme.
Se posant en tant que Garant de nos institutions, s'adressant directement, sans les nommer, aux candidats en lice aux primaires de droite, nous avons pu entendre un François Hollande déjà en campagne électorale.
Devant un auditoire totalement acquis, voire militants chevronnés, Le Président candidat manie le verbe, attaque l'opposition mais ne remets en rien en cause son bilan déplorable.
Ambiance de meeting, applaudissements répétitifs et enflammés... Dans un contexte dramatique, devant faire un discours sur le danger que représente le terrorisme, le Président n'a accordé que quelques minutes avant de passer au "François Hollande Candidat" qui tâcle ouvertement Nicolas Sarkozy, sans jamais le nommer.
Une mise en scène bien structurée mais qui pose question sur le choix et le moment choisi pour "entrer en campagne".
Un art du verbe incontestable auquel on ne peut qu'opposer l'absence de résultat dans l'action présidentielle.
Se posant en tant que Garant de nos institutions, s'adressant directement, sans les nommer, aux candidats en lice aux primaires de droite, nous avons pu entendre un François Hollande déjà en campagne électorale.
Devant un auditoire totalement acquis, voire militants chevronnés, Le Président candidat manie le verbe, attaque l'opposition mais ne remets en rien en cause son bilan déplorable.
Ambiance de meeting, applaudissements répétitifs et enflammés... Dans un contexte dramatique, devant faire un discours sur le danger que représente le terrorisme, le Président n'a accordé que quelques minutes avant de passer au "François Hollande Candidat" qui tâcle ouvertement Nicolas Sarkozy, sans jamais le nommer.
Une mise en scène bien structurée mais qui pose question sur le choix et le moment choisi pour "entrer en campagne".
Un art du verbe incontestable auquel on ne peut qu'opposer l'absence de résultat dans l'action présidentielle.